Comment répondre aux nombreuses questions liées aux stratégies de végétalisation?
- Les surfaces de pleine terre peuvent-elles accueillir de nouvelles plantations et garantir leur croissance sur le long terme ?
- Sur quelles parcelles faut-il agir en priorité pour d’atteindre les objectifs canopée ?
- Combien d’arbres planter ?
- Existe-t-il des surfaces scellées pour accueillir une opération de désimperméabilisation ?
- Quel est le potentiel de désimperméabilisation de ces surfaces scellées ?
- une carte de l’occupation du sol : une interprétation des données LIDAR (Laser Imaging Detection And Ranging) nous permet de modéliser très précisément les surface et ainsi de classifier de manière exacte l’occupation du sol (bâtiments, voies ferrées, végétation basse, moyenne, haute, surface imperméables, routes…).
- une carte du cadastre de la pleine terre : la continuité des surfaces de « pleine terre » au sens pédologique du terme est déterminante pour entreprendre les actions de végétalisation d’une parcelle. Nous établissons une carte sur laquelle le continuum sous-sol / sol / atmosphère est respecté – facteurs indispensables à la connectivité biologique.
- une carte qui détermine les espèces végétales à planter : espèces hygrophiles, mésophile ou méso-xérophile, cette carte représente les espèces préconisées pour atteindre les objectifs de manière durable. Une liste des essences indigènes est jointe à cette carte et présente leurs caractéristiques principales (grandeur, couleur des fleurs, disponibilité en pépinière régionale, altitude, pluviométrie…)